J'ai tewminéeuhh

Voila tout content d'avoir terminé et dans le souci de perfectionnement je vous montre ce que j'ai fais pour Le Travail des Enfants en Franceau XIXeme.

Citation :

"Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre
Qui produit la richesse en créant la misère
Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil"
Victor Hugo


INTRODUCTION
Pendant des siècles, la plupart des enfants ont travaillé dès leur plus jeune âge. A la campagne, ils étaient employés aux travaux des champs. A la ville, ils aidaient leurs parents artisans. Le travail se faisait en famille et ils devenaient souvent ce qu'était leurs père : paysan, maçon, ouvrier... Ainsi, très jeunes, ils apprenaient le métier. Certains enfants, issus de familles nombreuses, étaient placés comme ouvriers dans des fermes ou chez des patrons.
Les premières traces historiques du travail des enfants remontent à 1572, époque à laquelle des enfants participent à l’exploitation minière dans les Vosges Saônoises.
Dès le 17ème siècle, les ramoneurs savoyards sont des enfants.
La manufacture textile de Sedan emploie les enfants dès l’âge de sept ans.
Dans la manufacture de Saint-Gobain, les enfants sont nombreux : quarante âgés de sept à douze ans en 1780; ils transportent les copeaux, les tuiles, la terre dans des paniers.
Dans la région de Tourcoing, en 1790, sur 8.000 personnes employés dans la filature, 3.000 sont des enfants ; dans cette ville du peignage de la laine, il arrive que des enfants se noient dans les fosses où l’on lave la laine.
Le règlement intérieur de la papeterie MONTGOLFIER à Annonay, en 1785, stipule que "parmi les ouvrages de la fabrication, il y en a où les enfants en très bas âge peuvent être occupés; les pères et les mères auront soin d’y faire travailler leurs enfants".
Au début des années 1840, on aurait compté jusqu’à 143.000 enfants dans la grande industrie, dont 93.000 dans le seul secteur textile.

Le 19° siècle et la révolution industrielle,

Au 19ème siècle, l'enfant semble exercer une fascination distante. On discerne bien, dans nombre de domaines, une multiplication des indices : l'enfant maltraité, tyrannisé et molesté allant du Petit Chose à Poil de Carotte, emplit timidement la littérature ; les enquêteurs sociaux, arpentant les strates de la société, découvrent le travail des enfants et donnent des descriptions hallucinées qui pousseront le législateur à intervenir ; à la fin des années 1870, tandis que la criminologie prend son essor et invente le "criminel-né ", l'enfant suscite un regain d'intérêt, il est surveillé avec plus d'intensité, car dès sa naissance il représente une menace virtuelle. Mais, c'est Victor Hugo qui impose en 1853 la vision de l'enfant mort, victime expiatoire de la violence politique ; puis, dix ans plus tard, il donne le spectacle du massacre de Gavroche.

En 1840, les femmes et les enfants représentaient 75% de la main-d'œuvre textile. Ajoutons à cela, qu'au 19ème siècle, 150 millions d'enfants dans le monde exerçaient une activité professionnelle à temps complet et 100 millions à temps partiel. Il est donc compréhensible que le 19ème siècle soit qualifié de siècle noir en matière d'exploitation enfantine.

MELANCHOLIA illustre le travail des enfants

Des enfants dans les mines.

Pendant longtemps, jusque vers 1880, les enfants ont travaillé dans les mines. Leur petite taille leur permettait de se glisser dans les galeries les plus étroites.
Ils subissaient les mêmes risques que les adultes et vivaient dans des conditions effroyables, parfois dès l'âge de six ans. C'est ainsi qu'à Béthune, en 1861, lors d'un accident dans la mine, sur dix-huit morts, on compta sept enfants dont certains avaient juste neuf ans.

Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ?

Au 19ème siècle, les usines étant de plus en plus mécanisées, de nombreux postes de travail sont occupés par des manœuvres sans qualification. dès l'âge de 8 ou 9 ans, les enfants sont employés à ces travaux qu'aucune machine ne peut exécuter à cette époque. Les patrons encouragent le travail des enfants. Leur habilité et leur petite taille sont bien utiles pour certaines tâches. Et surtout, un adulte effectuant un travail similaire doit être payé trois à quatre fois plus. Bien souvent, comme leurs salaires ne sont pas suffisant pour vivre, les parents eux-mêmes font embaucher leurs enfants par l'usine.

Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ;

Les conditions de travail sont très pénibles pour tous. Beaucoup d'enfants font partie d'équipes d'adultes ; ils sont soumis aux mêmes horaires et ne sont pas mieux traités.Dans les mines de charbon, la durée de travail est habituellement de onze à douze heures ; elle va jusqu'à quatorze heures et, très fréquemment, on fait une double journée, si bien que l'ensemble des travailleurs reste sous terre en activité vingt-quatre heures, assez souvent même, trente-six heures d'affilé.

Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,

Le textile dévore les enfants. Dans les filatures, l'agilité, la souplesse, la petite taille des enfants sont utilisées par exemple pour attacher les fils brisés sous les métiers à tisser en marche, nettoyer les bobines encrassées, ramasser les fils de coton. Les enfants sont aussi chargés de surveiller les machines (ils doivent alors rester jusqu'à 16 heures debout), de travailler à la machine à dévider (ils sont alors assis sur des tabourets trop hauts pour eux afin de les empêcher de relâcher leurs efforts).
Les mines, les usines métallurgiques accueillent également des enfants : manœuvres, ils descendent dans les galeries plus étroites où ils peuvent se tenir debout et pousser des chariots.

Qui produit la richesse en créant la misère,

Le salaire des adultes est nivelé vers le bas par la présence des enfants dans les usines.
Le salaire d'un enfant varie en effet entre 5 centimes et deux francs alors qu'un adulte gagne 2 francs par jour, une femme, un franc et un enfant 45 centimes pour les moins de 12 ans, 75 centimes entre 13 et 16 ans.
À Mulhouse en 1835 le pain coûte de 12 à 15 centimes la livre, la viande de bœuf 45 centimes la livre, le lait 15 centimes.

Combien sont-ils?

On ne peut pas répondre à la question avec précison, plusieurs recensment ayant étés lancés et les résutats diffèrent. En 1868, on estime qu'il y aurait à cette date 125 715 enfants-travailleurs pour 1,1 million d'ouvriers.


LES REACTIONS
O Dieu ! qu'il soit maudit au nom du travail même,

Des voix se font entendre:

C'est seulement en 1840 que les premiers débats sur le travail des enfants s'amorcent autour d'un projet de loi présenté par le Baron Charles DUPIN. Les députés et sénateurs débattent âprement de ce projet destiné à limiter le travail excessif des enfants. Pendant de longues séances, les élus vont s’interroger sur les retombées économiques de cette initiative. Peut-on les faire entrer aux filatures à huit ans révolus seulement, ne les faire travailler que quarante-huit heures par semaine, et veiller à ce qu’ils aient deux heures d’enseignement primaire par jour ?

L’opinion publique n’était pas unanime non plus pour dénoncer ces abus ; la preuve en est que, quelques années plus tard, Jules SIMON pour avoir écrit un ouvrage intitulé "l’ouvrier de huit ans" dans lequel il s’élevait contre ces faits, se voyait accusé de vouloir ruiner l’industrie française, en particulier dans les textiles où l’on disait ne pouvoir réduire le temps de travail de l’enfant puisqu’il était calqué sur celui des ouvriers plus âgés. Cette résistance à toute amélioration de la situation des enfants est mise en évidence par la multiplicité des textes législatifs qui vont se succéder et par la modestie de leurs portée.

Les premiers textes,

C’est dans ce contexte que fût enfin votée le 22 mars 1841 la loi limitant l’âge d’admission dans les entreprises à huit ans, mais uniquement dans les entreprises occupant plus de vingt ouvriers.
En 1851, apparaît la loi limitant la durée du travail à dix heures au-dessous de quatorze ans, et à douze heures entre quatorze et seize ans.
En 1874, la limitation de l’âge d’admission à l’embauche sera fixée à douze ans; le travail de nuit sera interdit et le repos du dimanche deviendra obligatoire pour les ouvriers âgés de moins de seize ans.

LaMainVertement votre,

Mmm par où commencer, je pense pas que ce genre de messages aient leur place sur le forum.

De plus d'aprés ce que tu dis c'est sencé être ton exposé oral de 7 min, vu la longueur du texte, t'es parti pour facilment 30 min de lecture a condition de lire trés vite.

Mon conseil serais de faire un résumé de ce pavé fort instructif, avec tes mots.

Ton prof va constater trés rapidement que ce texte n'est pas de toi, les mots et tournures de phrases indiquent clairement que ce n'est pas toi l'auteur de ce pavé :

Citation :

Au 19ème siècle, l'enfant semble exercer une fascination distante

Garde les exemples marquants pour l'exposé, vire les autres, ça apporte peu, ça te fait juste perdre du temps à la lecture.

Internet est un réservoir de savoir et de connaissances, encore faut il reprendre ces connaissances avec tes mots pour pouvoir montrer que tu as appris, découvert quelquechose.

Zulmia

Tres bonne remarque! Pour mon oral de francais l'annee derniere j'ai eu 17 hehe alors j'espere que ca sauvera ma moyenne de BAC cette annee ^^
Bon que dire a propos de cela (a part "Que vient foutre ce sujet sur le forum de la guilde?!!"). Le texte est trop long: pour un truc d'environ 10 minutes il suffit juste de marquer les points essentiels et pas lire le texte deja prepare. Ce qui compte dans l'expose oral c'est de capter l'attention de ceux qui t'ecoutent, deja ton texte je l'ai pas lu car, franchement, ca donne pas envie! Le bon conseil que nous a donne notre professeur de francais (que j'aime beaucoup malgre son caractere pessimiste a la perfection, je cite "Peut-etre vous m'aurez pas l'annee prochaine car je serais morte") c'est de:
1. Elaborer un plan de ton expose
2. Prendre en notes ce que tu vas dire (pas phrases entieres par contre pour eviter de les lire ensuite)
3. Ecrire seulement une introduction et la lire
Ensuite tu verras ca va tout seul, pour mon expose sur le sujet "Ecrire, lire, poublier" j'ai meme pas eu besoin des notes ce qui m'a facilite la tache et a capte l'attention de la classe ("Alors elle va se planter ou pas?").
Si c'est un expose ecrit.... Essaye aussi de le raccourcir un peu plus, si je me rapelle t'es encore au college et des trucs comme ca c'est au lycee qu'on les fait ^^" Mets-toi a la place du prof qui doit lire une 30 de ces expose en une semaine et les noter: ca fatigue. Alors rends-lui un travail agreable, n'hesite pas a utiliser les couleurs pour les titres ou souligner ce qui te semble etre important. Bon enfin j'ecris les conseils tandis que moi-meme j'ai des mauvaise notes en francais cette annee =x (ah ces dissertes, que du bonheur!)

Ahhh le "que viens foutre ce sujet sur le fofo", dans l'extase d'avoir fini, j'ai voulu le montrer a tout le monde, désolé.

En fait pour le "ce que je vais dire", comme j'avais ce site et que les titres concordaient, j'ai illustré quelques vers du poèmes MELANCHOLIA, de Hugo.

Merci pour vos conseils j'ai "coupé" des exemples bêtes, remis des tournures ets de mots ,normaux.
Alorqs j'ai fait la lecture et 7 minutes tout pile, maintenant faut assurer pour le savoir par-coeur. Parce que c'ets toute la classe qui passe a l'oral le même jour :p.

Enfin bref le "paté" a diminuer de moitié.

Pour flooder encore un peu plus j'ai mis ca:

Citation :

Le Travail des Enfants au 19° siècle en France

"Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre
Qui produit la richesse en créant la misère
Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil"
Victor Hugo



INTRODUCTION
Au 19° siècle, dès leur plus jeune âge les enfants partaient au travail dans les mines et les ateliers.En général le fils prenait la profession du père et apprenait très jeune les rudiments du métier. Les revenus amassés pour les parents qui ne pouvaient persister avec leurs propres salaires, étaient bien moins élevés que ceux d'un adulte et les conditions pourtant même. On peut parler d'exploitation tant le travail était rude.
Au début des années 1840, on aurait compté jusqu’à 143.000 enfants dans la grande industrie, dont 93.000 dans le seul secteur textile.

Le 19° siècle et la révolution industrielle,

En 1840, les femmes et les enfants représentaient 75% de la main-d'œuvre textile.
Au 19° siècle, on prend un regard intéressé sur l'enfant. On observe, dans nombre de domaines, une multiplication des indices. L'image de l'enfant maltraité et tyrannisé apparait timidement dans la littérature.
A la fin des années 1870, la criminologie prend son essor et en conséquence l'enfant suscite un regain d'interêt, il représente une menace potentielle.
Mais c'est en 1853 que Victor Hugo impose la vision de l'enfant mort, victime de la société et de la violence politique.

MELANCHOLIA illustre le travail des enfants

Des enfants dans les mines.

Pendant longtemps, jusque vers 1880, les enfants ont travaillé dans les mines. Leur petite taille leur permettait de se glisser dans les galeries les plus étroites.
Ils subissaient les mêmes risques que les adultes et vivaient dans des conditions effroyables, parfois dès l'âge de six ans.

Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ?

Au 19ème siècle, les usines étant de plus en plus mécanisées, de nombreux postes de travail sont occupés par des manœuvres sans qualification. dès l'âge de 8 ou 9 ans, les enfants sont employés à ces travaux qu'aucune machine ne peut exécuter à cette époque. Les patrons encouragent le travail des enfants. Leur habilité et leur petite taille sont bien utiles pour certaines tâches. Et surtout, un adulte effectuant un travail similaire doit être payé trois à quatre fois plus.

Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules ;

Les conditions de travail sont très pénibles pour tous. Beaucoup d'enfants font partie d'équipes d'adultes ; ils sont soumis aux mêmes horaires et ne sont pas mieux traités pour, rappelons-le un salaire minime.Dans les mines de charbon, la durée de travail est habituellement de onze à douze heures et, très fréquemment, on fait une double journée, si bien que l'ensemble des travailleurs reste sous terre en activité vingt-quatre heures, assez souvent même, trente-six heures d'affilé.

Innocents dans un bagne, anges dans un enfer,

En 1840, les femmes et les enfants représentaient 75% de la main-d'œuvre textile. Dans les filatures, l'agilité, la souplesse, la petite taille des enfants sont primés.
Les mines, les usines métallurgiques accueillent également des enfants : ils descendent dans les galeries plus étroites où ils peuvent se tenir debout et pousser des chariots; dans le chiffon parisien, la verrerie, l'impression, les petits métiers...

Qui produit la richesse en créant la misère,

Le salaire des adultes est rabaissé par la présence des enfants.
Le salaire d'un enfant varie en effet entre 5 centimes et deux francs alors qu'un adulte gagne 2 francs par jour, une femme, un franc et un enfant 45 centimes pour les moins de 12 ans, 75 centimes entre 13 et 16 ans.
Pour exemple, à Mulhouse en 1835 le pain coûte de 12 à 15 centimes la livre, la viande de bœuf 45 centimes la livre, le lait 15 centimes.

Combien sont-ils?

On ne peut pas répondre à la question avec précison, plusieurs recensment ayant étés lancés et les résutats diffèrent. En 1868, on estime qu'il y aurait à cette date 125 715 enfants-travailleurs pour 1,1 million d'ouvriers.


LES REACTIONS
O Dieu ! qu'il soit maudit au nom du travail même,

Des voix se font entendre:

C'est seulement en 1840 que les premiers débats sur le travail des enfants est lancé sur un projet de loi du Baron Charles DUPIN. De nombreux confrontent les députés et les sénateurs au problème de la retombée économiuqe face à cette initiative.
L'opinion publiquen'était pas unamime non plus de dénoncer ces abus. Jules SIMON, pur avoir écrit un ouvrage intitulé "l'ouvrier de huit ans", dans lequel il s'éleve contre ces faits, s'est vu accusé de vouloir ruiner l'industrie francaise.

Les premiers textes,

Le 22 mars 1841, la loi limitant l’âge d’admission dans les entreprises à huit ans, mais uniquement dans les entreprises occupant plus de vingt ouvriers.
En 1851, apparaît la loi limitant la durée du travail à dix heures au-dessous de quatorze ans, et à douze heures entre quatorze et seize ans.
En 1874, la limitation de l’âge d’admission à l’embauche sera fixée à douze ans; le travail de nuit sera interdit et le repos du dimanche deviendra obligatoire pour les ouvriers âgés de moins de seize ans.

Et parti dans ma lancée je vous mets ma signature^^

LaMainVertement votre,