Depuis toujours, Un Autre Monde avait sa Muse et,
Depuis toujours, elle se nommait KomAKI.
Parfois, dans une guilde, on peut disputer pour des vétilles, on peut ponctuellement ne pas être d'accord, on peut prononcer des mots qui dépassent sa pensée et qui blessent ;
Mais, toujours, dans une guilde pacifiste, communautaire et altruiste qui prône l'entraide, la convivialité et le don, on a le devoir de faire un pas l'un vers l'autre et de se réconcilier.
C'est esssentiel, faute de quoi on perd son âme.
Ce Manifeste n'est pas un débat. Il pose une exigence forte, celle de nous pardonner et de nous retrouver. Nous sommes des Sœurs et des Frères et devons rester unis, écrivait AlisonAgarwaen en rédigeant Le pouvoir constitutif dans UAM ; je ne saurais mieux dire sinon en ajoutant que notre Chère Guilde se mourra de continuer de se déchirer.
En conséquence, j'exhorte les UAMis — sous l'égide de notre Cher Meneur, ElfeRaleur —, ainsi que KomAKI elle-même, à tout faire pour se retrouver, chacun faisant un geste envers l'autre, et demande à toutes celles et tous ceux qui nous aiment de nous aider à la Grande Réconciliation. Si nous y parvenons, nous serons dignes de notre blason. Si nous ne faisons rien, nous croupirons dans le chagrin.
Pour toujours, Un Autre Monde aura sa Muse et,
Pour toujours, elle se nommera KomAKI.