Pandkands, philosophe, écolo, semi-alcoolique.

Un délicieux bruit de pages, Brecht, une illumination, me voilà philosophe. Brecht faisait rire, pourquoi ne ferait il pas réfléchir? Et puis cet auteur nous transporte dans un monde éternel, dans un dofus formidable. Il a su s'imposer jusque dans notre monde. C'est lui qui a fait naître l'humour dans notre monde, c'est lui qui ferait naître la philosophie. Car comme disait un célèbre philosophe Dofusien:" Le rire est le propre de l'imbécile". Brecht aurait alors était obsolète, sans intérêt. Toute sa force résidée dans son humour pensais-je, c'était totalement faux. Au contraire il était cynique, dans son humour se trouver un moyen de faire passer les problèmes fondamentaux de notre monde.

Dofus m'ouvrit enfin ses portes, son esprit. Je pu enfin me rendre compte de l'étendu du gouffre intellectuelle qui recouvrait notre beau monde, en premier lieu mon île. Je me suis donc posé, quelque mois, retiré de tout. Je méditais, jusqu'au jour ou la nature de tous ces problèmes m'est apparue, la violence, la non réflexion. Alors j'ai commencé à parcourir le continent, d'abord mon île, mais rien n'y a fait, j'étais bien seul. Sur le continent, j'ai trouvé des compagnons, vous ici présent, et puis plus particulièrement Erf, que je connaissais déjà avant ma naissance pandawa.

Cette longue période de méditation, de réflexion m'a permis de conclure à l'erreur de mes précédents comportements. Cette dernière constatation m'avait complètement décidé. Je serais philosophe, parcourant les mers et les vallées en diffusant la parole, et la réflexion.
Je serais non violent car c'est la seule solution. La violence nous gangrené, le combat qui s'annonce est non violent. Il s'appel éducation populaire, forum de pensées, débats, manifestations.
C'est en mobilisant que nous accomplirons notre tache, notre vie est éphémère, un jour face à la violence peut être j'irai reposer en Pandala, seul comme à mes débuts. Mais J'aurais essayé de changer, de résoudre, de trouver.

Et puis je ne pouvais oublier la nature, et ma nature. Pandala, île magnifique, ravager par des braconniers, mais aussi par des panda ivres. Je n'échappe pas à l'ivresse, elle est là base de mes méditations, mais je n'oublierais pas la nature. Elle est si fondatrice. C'est elle qui nous fait et nous défait.
J'étais donc écolo.

A suivre.

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